Ce n’est pas lorsque tu semblais
Indifférent, distrait et morne,
Que mon âme se dépeuplait
De sa ténacité sans borne.
– Mais parfois plus doux, plus aimant,
Riant, reprenant confiance
Et me regardant clairement,
Tu me tuais par l’espérance…
Poème de l’amour
Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles